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    Je ne comprends décidément rien à cette logique. On dit qu'elle n'est pas différente, que la même que la notre. Mais c'est faux. Je ne comprends pas, vraiment pas. Une fois elle me dire oui, pour ensuite dire non. Elle se rapproche pour ensuite me repousser. Elle joue avec moi comme si j'était son pantin et je ne peux rien faire. Comme hypnotisé quand elle est là, mais je la hais dès qu'elle n'est plus là. Elle m'a ensorcelé. Elle est dans mon esprit tout le temps. Elle me semble parfaite. Je la veux pour moi seul. Et elle s'amuse à se trémousser devant moi et je la regarde, je la contemple, je bave presque. Ses cheveux brillants pris dans le vent, ses yeux verts, un piège si profond dans lequel je suis tombé . Ses traits doux, son petit nez qu'elle fronce quand elle est en désaccord. J'ai l'impression de la connaitre par cœur. Car son image ne s'ôte pas de mon esprit. Je rêve d'elle. Je tiens à elle. Je pense à elle. Je la hais de me faire subir ça. De me laisser comme ça, vulnérable. Je suis jaloux, je ne supporte pas que quelqu'un s'approche d'elle. Elle me fait ressentir quelque chose que je n'ai jamais senti pour personne. Je suis son prisonnier et elle en profite. Elle sourit malicieusement quand je la regarde un peu trop. Elle se retourne quand je l'interpelle. Elle joue avec moi. Je ne suis plus que sa marionnette maintenant, mais c'est fou comme j'aime ça.


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  • Douce mélodie

    Bonjour population trainant par ici.

    Aujourd'hui, je suis en manque de nouveautés. Je ne cherche pas aujourd'hui de thème pour écrire mais je recherche de la musique, nouvelle. Car que serait un texte sans une mélodie qui l'accompagne. Je ne suis pas difficile niveau goût musicaux, alors je n'attends que vos propositions.

    Et sinon, si vous avez des idées de textes, c'est par là -> Juste ici

     


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  • L'espèce humaine cherche en vain d'autres créatures vivantes. Il y a , à des millions d'années lumière, une galaxie où une planète est semblable à la Terre. Y vivent des humains à la peau rouge et bleu. Là bas, les apparences sont juste vérité. En rouge le peuple, et en bleu la noblesse, soit les gouverneurs. Naître d'une couleur ou d'une autre trace toute la destinée. Etant cependant supérieur à l'espèce humaines, ces habitants d'une différente teinte ont pris de l'avance sur les nouvelles technologies. Bien que tout cela pourrait paraitre meilleur, ça ne l'est pas. Le chaos c'est installé. Les humains rouges travaillent dès leur plus jeune âge, n'ont aucune éducation et meurt soit sur champs de bataille soit dans les champs qu'ils cultivent. Les industries sont complètement robotisées. Des automates à apparence presque humaine sont même mieux traités que l'espèce rouge. Mais un groupe des humains rouges a décidé de se révolter, ils se sont éduqués au grand secret du reste du monde est aujourd'hui ils sont près à tout faire pour changer leur monde.

     

    Notre étoile majeure ne brillait pas encore que je me suis réveillé. Je regarda le temps il était et je me rendis compte que j'étais bien en avance. Je pouvais encore refermer les yeux et reprendre des forces pendant un ou deux temps. Je me réveilla pour la deuxième fois, je me leva et une force invisible m'envahit. Une forte émotion me piqua les yeux et de je ressentis pour la première fois, ce que les plus sages appelait l'espoir. Je fis quelques pas et aussitôt une excitation agréable pris possession de mon corps. Tant j'avais hâte, je ne pouvais m'empêcher de sautiller, de chantonner une chanson populaire et je souris même. Je pris l'ascenseur et descendis 25 étages. Dans la salle de restauration toute ma petite bande était déjà réunie, en mangeant, ils regardaient tous l'écrans lumineux qui diffusait la couleur du l'atmosphère d'aujourd'hui. Quand je me servis du blés dans un récipients, ils me souhaitèrent tous la bonnejournée. Je mangea, à la hâte, tant j'étais pressé de leur donner tout ce que j'avais. Je me battrais, me viderais de mes forces, me sacrifierais s'il le fallait, et je serais à tout juste pour honorer la couleur avec laquelle je suis né. Je ne suis qu'un rouge d'âge moyen, certes, mais ma détermination était umbreakable. Nous étions tous prêt. Nous voulions rentrer dans une nouvelle ère, un monde réinventé. Nous allions juste nous battre, pour monter au pouvoir et nous ne songions pas un instant à la vengeance. Et si nous devions mourir, victorieux ou non, nous n'aurions aucune haine en nous pour le peuple bleu.


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  • Il voyait, reflétés dans le miroir, ses longs cheveux blond qui descendaient en cascade. Il la dévorait littéralement du regard alors qu'elle ne pensait juste à la peur qui formait une boule dans son ventre. Lui, assis sur le lit, tenant son mal en patience sentait, une rage sauvage monter en lui. La peur, lui, il ne la ressentait pas, il était confiant et savait qu'il allait sortir victorieux. Elle se présenta, enfin, devant lui, à moitié nue, un sourire mal assuré aux lèvres. Dieu, qu'elle était belle. Son visage, il le connaissait par cœur, il ne s'y attarda pas. Ses traits, fins et si parfait pour lui, s'accordaient parfaitement avec ses grands yeux bleus, où un éclat de folie logeait. Son corps, lui, il n'en avait jamais vu d'aussi beau. Elle avait quelques rondeurs mais il ne s'en préoccupait pas. Ce qu'il aimait, c'était sa poitrine, débordant légèrement de son soutien gorge. Il avait vraiment hâte de le dégrafer pour apercevoir ses petites pointes roses pâles. Il sentait un agréable excitation s'emparer de tout son corps. Elle, avait le cœur qui battait la chamade. Il se déshabilla enfin. Elle se mordit la lèvre et n’eut plus peur. Doucement ils s'enlacèrent. Le désir montait dans chacun de ses jeunes corps. Dans la chambre régnait une chaleur épouvantable. La sueur perla, les frissons hissèrent leurs poils. Jamais avait il sentit quelque chose de si fort. Si intense. Une sensation qui concrétisait parfaitement ce qu'il ressentait l'un pour l'autre. Une fusion plus profonde qu'à l'ordinaire et un toucher plus sensible que jamais. Ils se sentaient comme deux bêtes folles que jamais personne n'aurait pu séparer. Ils se sentaient liés pour toujours.


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  • Je ne suis peut-être pas la plus chanceuse. Je ne suis peut-être pas la plus gentille ou la plus raisonnable. Je ne suis peut-être pas la plus belle ou la mieux habillée, mais moi, je suis heureuse. Mon cœur est chaud et plein de bonnes volontés. Je vis comme bon me semble et je ne fait que peu d'erreurs. Il faut dire que je n'aurais jamais réussis toute seule. Je suis extrêmement bien entourée de tout ceux qui sont toujours là pour moi: je les adore. Moi et mes amis, c'est éternel. Je ne me sens pas capable de vivre sans eux. Ils illuminent mes jours comme j'illumine les leurs. Ils soutiennent tout mon poids quand je me sens tomber, ils me relève quand je suis à terre. Ils sourient quand je pleure, me bercent quand je cauchemarde, m'aident quand je bloque. Me bougent quand je m'engourdis. En bref, ils sont formidables, nous sommes comme liés, sur la même longueur d'onde. Les disputes ne durent jamais longtemps. On s'amuse, danse, rit, délire. Je vis ma vie d'adolescente jusqu'au bout, je profite de cette jeunesse insouciante éphémère. Quand le ciel est bleu et que le soleil décline, je m'assois sur mon muret et repense à tout ce que je vis. En respirant l'air frais de ma campagne, j'efface les ombres du tableau avec des anecdotes qui me font sourire. J'ai  fait de ma vie ce que je voulais, j'efface le chaos de mon passé avec des nouveaux souvenirs, remèdes au désespoir. Et je souhaite réellement que cela arrive aux plus malheureux car chacun à le droit de croire que chaque jour est meilleur que le précédent, jusqu'à ce qu'on atteigne tous les rêves et les buts que l'on avait.


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