• L'espèce humaine cherche en vain d'autres créatures vivantes. Il y a , à des millions d'années lumière, une galaxie où une planète est semblable à la Terre. Y vivent des humains à la peau rouge et bleu. Là bas, les apparences sont juste vérité. En rouge le peuple, et en bleu la noblesse, soit les gouverneurs. Naître d'une couleur ou d'une autre trace toute la destinée. Etant cependant supérieur à l'espèce humaines, ces habitants d'une différente teinte ont pris de l'avance sur les nouvelles technologies. Bien que tout cela pourrait paraitre meilleur, ça ne l'est pas. Le chaos c'est installé. Les humains rouges travaillent dès leur plus jeune âge, n'ont aucune éducation et meurt soit sur champs de bataille soit dans les champs qu'ils cultivent. Les industries sont complètement robotisées. Des automates à apparence presque humaine sont même mieux traités que l'espèce rouge. Mais un groupe des humains rouges a décidé de se révolter, ils se sont éduqués au grand secret du reste du monde est aujourd'hui ils sont près à tout faire pour changer leur monde.

     

    Notre étoile majeure ne brillait pas encore que je me suis réveillé. Je regarda le temps il était et je me rendis compte que j'étais bien en avance. Je pouvais encore refermer les yeux et reprendre des forces pendant un ou deux temps. Je me réveilla pour la deuxième fois, je me leva et une force invisible m'envahit. Une forte émotion me piqua les yeux et de je ressentis pour la première fois, ce que les plus sages appelait l'espoir. Je fis quelques pas et aussitôt une excitation agréable pris possession de mon corps. Tant j'avais hâte, je ne pouvais m'empêcher de sautiller, de chantonner une chanson populaire et je souris même. Je pris l'ascenseur et descendis 25 étages. Dans la salle de restauration toute ma petite bande était déjà réunie, en mangeant, ils regardaient tous l'écrans lumineux qui diffusait la couleur du l'atmosphère d'aujourd'hui. Quand je me servis du blés dans un récipients, ils me souhaitèrent tous la bonnejournée. Je mangea, à la hâte, tant j'étais pressé de leur donner tout ce que j'avais. Je me battrais, me viderais de mes forces, me sacrifierais s'il le fallait, et je serais à tout juste pour honorer la couleur avec laquelle je suis né. Je ne suis qu'un rouge d'âge moyen, certes, mais ma détermination était umbreakable. Nous étions tous prêt. Nous voulions rentrer dans une nouvelle ère, un monde réinventé. Nous allions juste nous battre, pour monter au pouvoir et nous ne songions pas un instant à la vengeance. Et si nous devions mourir, victorieux ou non, nous n'aurions aucune haine en nous pour le peuple bleu.


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  • Il voyait, reflétés dans le miroir, ses longs cheveux blond qui descendaient en cascade. Il la dévorait littéralement du regard alors qu'elle ne pensait juste à la peur qui formait une boule dans son ventre. Lui, assis sur le lit, tenant son mal en patience sentait, une rage sauvage monter en lui. La peur, lui, il ne la ressentait pas, il était confiant et savait qu'il allait sortir victorieux. Elle se présenta, enfin, devant lui, à moitié nue, un sourire mal assuré aux lèvres. Dieu, qu'elle était belle. Son visage, il le connaissait par cœur, il ne s'y attarda pas. Ses traits, fins et si parfait pour lui, s'accordaient parfaitement avec ses grands yeux bleus, où un éclat de folie logeait. Son corps, lui, il n'en avait jamais vu d'aussi beau. Elle avait quelques rondeurs mais il ne s'en préoccupait pas. Ce qu'il aimait, c'était sa poitrine, débordant légèrement de son soutien gorge. Il avait vraiment hâte de le dégrafer pour apercevoir ses petites pointes roses pâles. Il sentait un agréable excitation s'emparer de tout son corps. Elle, avait le cœur qui battait la chamade. Il se déshabilla enfin. Elle se mordit la lèvre et n’eut plus peur. Doucement ils s'enlacèrent. Le désir montait dans chacun de ses jeunes corps. Dans la chambre régnait une chaleur épouvantable. La sueur perla, les frissons hissèrent leurs poils. Jamais avait il sentit quelque chose de si fort. Si intense. Une sensation qui concrétisait parfaitement ce qu'il ressentait l'un pour l'autre. Une fusion plus profonde qu'à l'ordinaire et un toucher plus sensible que jamais. Ils se sentaient comme deux bêtes folles que jamais personne n'aurait pu séparer. Ils se sentaient liés pour toujours.


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  • Je ne suis peut-être pas la plus chanceuse. Je ne suis peut-être pas la plus gentille ou la plus raisonnable. Je ne suis peut-être pas la plus belle ou la mieux habillée, mais moi, je suis heureuse. Mon cœur est chaud et plein de bonnes volontés. Je vis comme bon me semble et je ne fait que peu d'erreurs. Il faut dire que je n'aurais jamais réussis toute seule. Je suis extrêmement bien entourée de tout ceux qui sont toujours là pour moi: je les adore. Moi et mes amis, c'est éternel. Je ne me sens pas capable de vivre sans eux. Ils illuminent mes jours comme j'illumine les leurs. Ils soutiennent tout mon poids quand je me sens tomber, ils me relève quand je suis à terre. Ils sourient quand je pleure, me bercent quand je cauchemarde, m'aident quand je bloque. Me bougent quand je m'engourdis. En bref, ils sont formidables, nous sommes comme liés, sur la même longueur d'onde. Les disputes ne durent jamais longtemps. On s'amuse, danse, rit, délire. Je vis ma vie d'adolescente jusqu'au bout, je profite de cette jeunesse insouciante éphémère. Quand le ciel est bleu et que le soleil décline, je m'assois sur mon muret et repense à tout ce que je vis. En respirant l'air frais de ma campagne, j'efface les ombres du tableau avec des anecdotes qui me font sourire. J'ai  fait de ma vie ce que je voulais, j'efface le chaos de mon passé avec des nouveaux souvenirs, remèdes au désespoir. Et je souhaite réellement que cela arrive aux plus malheureux car chacun à le droit de croire que chaque jour est meilleur que le précédent, jusqu'à ce qu'on atteigne tous les rêves et les buts que l'on avait.


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  • Je me sens comme engourdie par la vie. Je me sens me lasser de tout ce qui compose mon existence. Même si je crois en un monde meilleur, je sais que je suis née trop tôt ou peut être trop tard.

     

    J'écris la vie que je n'aurais jamais. La vie qui sort de l'ordinaire, peut-être un vie éternelle ou surnaturelle. Une vie qui change la façon de voir le monde, une vie où l'on a plusieurs chances. Une vie où tout ce qui parait normal ne l'est pas. Une vie où l'argent ne compte pas, où les conflits ne durent pas . Une vie qui pourrait sembler parfaite. Une vie où l'aventure pimente mon quotidien. Où mes amis sont vraiment des amis. Une vie où je ne suis pas lâche, où je ne suis pas timide, où je réussis un tant soit peu les choses que je fais. Une vie où tout ce que je déteste n'existe pas, où tout ce que j'aime occupe mes journées. Une vie où la musique me berce, couvrant tous les bruits qui me sont désagréables, où les cris deviennent chansons ou poèmes. Une vie que je désire tout en écrivant. Une vie où, enfin, je vivrais.

     


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  • Tout était parfait. Il était heureux car ce soir, elle serait sa promise. Rien qu'à lui. Elle s'offrirait à lui comme il le désirait depuis fort bien longtemps. Car il ne l'avait pas choisie au hasard. Elle, elle était magnifique, avait une démarche gracieuse et nonchalante, elle avancait telle un félin dans les rues bombées de monde. Elle se démarquait non pas par sa démarche mais aussi par son physique exeptionnel. Ses cheveux blond platine sortaient du lot, ils brillaient, attiraient le regard. Son regard. Il pouvait passer des heures à la regarder, glissant ses yeux tout le long de son corps, si parfait qu'il en devenait presque suréaliste. Son regard, intense, persant, il se souviendra toujours de le premier fois où il l'a croisé. Il ne pouvait que s'agenouiller devant tant de splendeur. Et bien que lui ne sois pas doté d'une même grande beauté naturelle, elle vînt un jour lui parler. Sa voix était douce, chantante. Et son rire christallin, ravissant, emerveillant sa journée et son esprit. Ils discutèrent un moment. Il était sur un petit nuage, elle aussi semblait bien. Et bien que le temps, et le vent semblaient vouloir les séparer, ils restèrent là, à discuter, sur un banc et sous la pluie.

     

    Elle dormait paisiblement à moitié nue, sur son lit, attachée. Elle allait bientôt se reveiller, mais ses muscles serait engourdis. Elle ne pourrait que parcourir la pièce du regard. Elle ne pourrait qu'admirer les petites attentions qu'il lui avait faites. Il avait éparpillé pleins de pétales de roses blanches et rouges autour d'elle. Elle ne pourrait que sentir la douce odeur, si chaleureuse et romantique qui régnait dans la pièce. Ensuite elle sentirait ses doigts, se promenant sur tout son corp et lui, lui sourirait. Elle ne pourra pas répondre à se sourir car ses muscles seront comme figés. Elle commencera à s'inquièter un peu et essayera de de bouger, mais se sera peine perdu. Alors ses yeux exprimeront la peur, puis quand elle verra qu'il se rapprochera un petit peu trop près d'elle, de la haine se liera à la peur. Il l'embrassera dans le coup puis se retirera de la pièce pendant un instant. Puis reviendra avec le plus long couteau de cuisine qu'elle n'aie jamais vu. Il le posera, froid, sur sa peau blanchâtre. Le fera parcourir le long de ses membres puis recommencera, en appuyant plus fort à chaque fois. Elle aura mal. Affreusement mal. Elle voudra crier mais elle ne pourra pas car aucun de ses mouvements ne répondait. Elle ne pourrait que le regarder faire, un sourire viscieux au lèvres, un regard ardant. Il montrerait bien tout le plaisir qu'il prend à faire ça. Très vite elle sentira, son sang chaud, dégouliné sur les draps. Bientôt une mare de sang se formera autour d'elle. Ensuite les pétales de roses blanches deviendront sombre et à ce moment là, il arretera de l'entailler. Il admirera quelques instants la teinte particulière des pétales, une teinte qu'il trouvait particulièrement jolie. Revenant au corps, il baignera ses cheveux d'ange dans le sang. Il regardera ses yeux, exprimant maintenant une extrême souffrance. Alors il lui susurera que tout cela n'est qu'un commencement, et elle reussira à émettre un faible gémissement. Toujours munis de son fidel couteau, il lui coupera les bras. Deux geser de sang sortiront de chaque côtés et elle ne sera toujours pas morte. Non, il l'obligera à rester vivante. Pour qu'elle puisse savourer chaque instant de sa torture. Il stoppera ses emoragies pour ne pas la perdre trop vite, puis il caressera son front perlé de sueur. Agonisante, elle l'entendra ricaner à intervalles réguliers. Puis il l'éventrera et découpant sa poitrine pour la mettre en bocal, il regardera son coeur battre. Il localisera rapidement ses poumous et pris d'une folie soudaine, il les lui transpersera. Elle n'aura même pas la chance de suffoquer. Là, elle serait morte. Il prendra la peine de lui fermer les yeux. Il finira bien vite sa boucherie car il prendra beaucoup moins de plaisir un fois, sa victime morte.

     


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