• Bonjour tout le monde

    Aujourd'hui en regardant les nouveautés sur mon petit blog chéri, je me suis aperçue, que celui ci avait dépassé la barre des 2000 visiteurs. C'est super, et je vous en remercie beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup.

    Soit j'ai décidé d'ouvrir LE 1er concours du blog.

    Les règles sont très simples. C'est l'été alors vous allez devoir à l'aide d'une création artistique exprimer vos sentiments en été. Que ce soit joie, nostalgie, euphorie, haine,.... Vous allez devoir le faire ressentir à moi même à l'aide de votre œuvre. Celle ci peut être: Un texte, un dessin, un graph, un texte et une image/dessin, ect.. Surprenez moi.

    Voilà, il ouvre aujourd'hui et finira quand il y aura assez de participant et puis... Qu'en j'en aurais envie.

    Je vais créer ultérieurement une rubrique pour le concours alors ne vous jetez pas sur cette article tout de suite pour les inscriptions, voilà voilà.

    Si vous avez des questions à propos du concours, du blog, ect, les commentaires ci dessous ou bien les MP sont acceptés avec plaisir.

    See ya o/

    ____________________________

    Petit texte pour vous (pas finit et il ne le sera surement jamais)

    Une danse endiablée, un combat acharné. Des masques bien différents, presque identiques. Dans leur monde plus qu'abstrait, ils se raccrochaient vainement au peu de concret. Plongés, plus ou moins volontairement, dans une bulle de mots, pas de maitre, juste des ficelles, toutes bien vicieuses, écorchant ce qui semblait être leur cœur. Un peu de sentiment, un brin d'émotion, beaucoup d'encre, trop de mots, qui résonnaient tel un écho enragé.


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  • Les volets étaient clos. Assise sur un canapé miteux, troué, sans espoir elle comptait.

    Un, deux, trois, Bois.

    Perdue dans sa torpeur, noyée dans son ivresse. Ressassant ce qu'elle pouvait, ses faux pas encore dans sa mémoire, pas totalement inondés.

    Un, deux, trois, Bois.

     Les yeux rouges, elle pleurait. Les larmes d'alcool coulaient sur ses joues blanches. Elle n'avait plus de retenue, ni même d'amour propre. Une fierté saoule.

    Un, deux, trois, Bois.

    Elle promenait ses songes chancelants dans une détresse distordue. Se tapant contre les murs de la honte. Éclaboussée par le malheur et ses vomissures.

    Un, deux, trois, Bois.

    Elle ne saisissait plus ses chances trompeuses. Elle ne saisissait plus que ses bouteilles. Rejetant son propre reflet tant elle le regrettait.

    Un, deux, trois, Bois.

    Elle comptait toujours. Les gouttes glissant dans sa gorge. Les moutons avant de dormir. Les doigts de la main qu'on lui tendait. Les bouteilles, maintenant derrière elle.

    Un, deux, trois.


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  •  

    Le front contre la fenêtre, il regardait l’orage venir. Une mèche, plus longue, cachait une partie de sa vision. D’un mouvement de tête il la repoussa. Les immenses nuages noirs, semblables à un gouffre sans fin, se posaient sur le ciel bleu. Ils mangeaient ce qu’il restait de clarté. Le vent commença à souffler plus fort. Beaucoup plus fort. Une fine pluie tomba. L’orage était là. Imposant et effrayant, il grondait, plus fort que jamais. Plus menaçant qu’un chien enragé. Plus bestial qu’un ours. La pluie fine devenait averse. Battante, balayée par un puissant vent. La vue de plus en plus floue et bientôt, on ne voyait plus les montagnes au loin. Les fleurs, maintenant meurtries par la grêle, baissaient la tête. La nature criait au secours et les animaux priaient pour que ça s’arrête. Mais le temps semblait s’acharner, encore, et encore. D’horribles grondements, des éclairs surprenants, terrifiants. La débâcle des éléments. Le vent, la pluie, le tonnerre. Un bouquet final. Harmonieusement excitant. Magnifiquement terrifiant.

     Un dernier coup de vent, puis plus rien. Il décolla son crâne de la fenêtre et lentement se coucha, pour suivre cet orage au pays des songes.

     


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  • Le temps passe trop vite. Peut-être beaucoup trop vite.

    Déjà une semaine depuis le dernier article: je n'ai pas vu le temps passer. Bouh lala.

    J'ai dans l'idée de faire un RPG, surement dans un deuxième blog. Pour m'occuper pendant mes vacances, et vous occuper pendant vos vacances. Le problème est que je n'aime pas avoir deux blogs: il y en a toujours un qui est abandonné.

    Mais soit, pourquoi ne pas essayer ? J'aimerais avoir les avis de ceux que ça intéresse vraiment, pas de ceux qui vont s'inscrire pour ne plus jamais revenir. Si il y a du monde déjà alors je le créerais bientôt.

    J'aurais surement besoin d'aide.

    Les stats augmentent toujours, merci. Je suis en vacances.

    Je pense ouvrir bientôt un concours pour la fête de la musique.

    A bientôt les n'enfants o/


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  • J'écris encore, le blog meurt.

    Peut etre parce que je me lasse un peu. Bien que ekla soit toujours intéressant pour la rencontre de certaines personnes et pour tous les commentaires que l'on peut me donner pour amélioré ma plume.

    Je suis en vacances dans une semaine. Elles seront surement banales et ennuyeuses mais je serais contente d'y être. La seconde est déjà terminée. Mon dieu, je ne l'ai presque pas vue passer. Je passe en première et toujours pas de projets fixes, cependant une paresse lassante et toujours là.

    Je crois que je grandis, mentalement. Je ne me sens plus comme avant, ou n'est ce qu'une impression ? En tout cas, je ne suis plus "jeune". Mon insouciance et ma liberté d'enfant s'en va, et bientôt je volerais de mes propres ailes. J'ai encore un peu de temps devant moi, mais je n'ai plus ce que j'avais. Je suis nostalgique. Cette chanson n'arrange surement pas mon cas. Mais elle m'inspire, énormément.

    J'ai toujours aussi peur de parler de moi aux autres. Je n'exprime pas le fond de ma pensée à mes amis IRL, alors voilà, c'est vous qui vous tapez ce pavé. Je me fous honnêtement de savoir si vous avez tout lu. Moi au moins, ça me soulage.

    -

    C'est pas que je ne vais pas bien. Je déteste juste mon moi même quand je vois ton visage. Je croise ton regard inévitablement et je me sens défaillir. Je m'emplis de faux espoirs. Et tu me manques, toi, inconnu. Je déteste cette envie folle de pouvoir attiré ton regard et d'être pour une fois remarquable au yeux de quelqu'un.

     

     


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